Le cycle de l'eau est profondément affecté par les activités humaines, telles que l'urbanisation et l'agriculture, qui altèrent non seulement la quantité d'eau disponible mais aussi sa qualité.
Cette situation nécessite un changement vers des pratiques durables, en reconnaissant et en intégrant la valeur intrinsèque de l'eau dans toutes les sphères de la prise de décision. L'eau n'est pas seulement essentielle pour la vie humaine mais joue un rôle crucial dans le maintien de toute la biodiversité.
La préservation des écosystèmes aquatiques et la gestion équitable des ressources en eau sont fondamentales pour soutenir la vie dans ses multiples formes, de l'infiniment petit à l'infiniment grand.
L'accès à l'eau potable et à des systèmes d'assainissement adéquats est une préoccupation majeure en matière de justice sociale.
Les disparités dans l'accès à ces ressources essentielles soulèvent des questions de justice et d'équité, souvent exacerbées par des politiques et des pratiques qui ne tiennent pas compte des besoins des communautés marginalisées.
Récemment, plusieurs pays ont adopté des approches novatrices en reconnaissant la "personnalité juridique" des rivières, attribuant des droits légaux à des entités naturelles pour protéger et gérer leurs écosystèmes de manière durable.
Des pays comme la Nouvelle-Zélande, l'Inde et la Colombie ont été précurseurs dans ce domaine, marquant une avancée significative dans la reconnaissance des droits de la nature.